• A partir du Samedi 12 et jusqu'au Lundi 14, vos deux admin's seront en vacances. Pour la moindre question, le moindre problème, contactez KANG OANH
• Nous sommes en surplus évident de chimères. On ne ferme pas le gang, obviously, mais si vous pouviez privilégier les autres gangs, particulièrement les alchimistes, sages et sans-gangs, ce s'rait cool.
habitation Sur le flan d'une colline, ils s'empilent, ces bâtiments qui, de loin, pourraient avoir l'air de bidonvilles. Pourtant, quand on y regarde de plus près, on ne voit que des sols de coussin, des tables basses, une épaisse fumée sort des bâtiments recouverts de bâches. Un son de reggae pulse dans la zone. Des grandes tentes sont installées pour que tout le monde y trouve sa place. Et en haut de la montée, sous un grand chapiteau, une grande tablée où se rassemblent les fiers représentants des sages, pour manger ensemble dans une ambiance qui leur ait bien particulière.
catacombes. Le secret le mieux caché des sages n'est pas leur technique de jardinage, mais quelque chose de plus sombre et de plus enfoui. Au creux de cette terre même qui porte le poids de la jeunesse perdue, des galeries serpentent, traversant toute l'oasis. Ce n'est que les restes de ce qu'il y avait avant, probablement des laboratoires aux projets illicites. Maintenant, elles ne servent qu'à vagabonder et à stocker les biens les précieux des sages, leur marchandise et des rations alimentaires. Elles mènent aussi aux générateurs de l'île, mais à l'heure actuelle, personne ne l'a encore trouvé.
QG des sages/bibliothèque. dans les ruines de ce qu’on pourrait présumer un musée, se trouve une des raretés de l’île, un lieu de culte et de savoir : une bibliothèque. Et c’est ici, qu’ont prit lieu les sages, assis dans de grands coussins, des cendriers jonchant le sol. Alors qu’au plafond, un vitrail de toute beauté illumine la pièce. Des étagères remplies de bouquins élimés recouvrent les murs. Des centaines, voire des milliers d’ouvrages sont là, dans un désordre le plus complet. De grands escaliers montent dans des pièces presque détruites. Parfois, on y trouve des bureaux aux tiroirs jamais ouvert, de grandes cheminées allumées en hiver. Une fumée plus qu’opaque règne en maître avec toujours la même odeur, celle de notre mère, la mj.
serres. de grandes bâches en plastique retrouvées un peu partout recouvrent des barres en métal, alors qu’à l’intérieur des lampes à uv font pousser leur bien le plus précieux. Vert. Un instant presque on se croirait dans une jungle amazonienne, alors que des vaporisateurs d’eau créés avec quatre bouts de ficelle ajoutent de l'humidité dans cet air déjà empestant une odeur bien particulière. La mary-jane. Dans un coin, on fait sécher les plantes, les rangeant dans des petits pochons pour satisfaire les clients. Certains en piquent déjà, s’allumant une clope améliorée. D’autres sont consciencieux dans leur travail, vouant un amour à ces écosystèmes. On y trouve même un potager, certes peu avancé et rudimentaire, mais il y a de quoi régaler certaines papilles.